Comment comprendre cette tendance à faire les choses à la dernière minute?
Nombreux sont les adeptes de la procrastination, dopés à l’adrénaline de l’ultime moment, vous êtes plus proches du lapin retardataire que d’Alice au pays des merveilles quand il s’agit de rendre un dossier important, de commencer à réviser ou de retrouver une copine au parc.
Lorsque vous arrivez en retard, vous devenez souvent la seule préoccupation de celui qui vous attend. En même temps que vous arrivez plus que « pile-poil à l’heure » pour ne pas attendre vous-même, vous signifiez une sorte de prise de pouvoir sur le moment, sur le rendez-vous, sur la relation.
Si l’adepte de la dernière minute témoigne d’un rapport au contrôle ambivalent, c’est souvent qu’en souhaitant contrôler l’autre, on trahit la crainte de ne pas se contrôler soi-même. Souvent plus qu’une lascivité excessive c’est bien un manque de maitrise de soi qui est en jeu.
Plus encore, l’impuissance acquise consiste en une attitude de résignation vis à vis de l’environnement. Convaincues qu’elles vont forcement échouer, certaines personnes préfèrent adopter une attitude laxiste et abandonner au lieu d’essayer.
Il convient alors d’initier un travail pour agir sur l’environnement de manière optimiste et réaliste afin de bien se connaître et de prendre sa vie en main dans le but de stopper le fait d’être un acteur passif.
Il est possible d’améliorer ses performances personnelles en réinterprétant le monde d’une manière plus adéquate.
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