Il y a quelques jours, j’étais en consultation en ligne avec une jeune femme qui souffre d’anxiété.

Lorsque l’on traite l’anxiété ou faire un travail sur soi pour être plus sereine de manière générale, on tente d’identifier ce qui déclenche l’anxiété ou n’importe quel mal être.

Le but étant de comprendre comment cet état s’est structuré, pour pouvoir le désamorcer en amont et élaborer des stratégies de gestion de soi en aval.

Inutile de dire que cette année 2020 a été vraiment particulière, en tant que psychologue, j’ai remarqué qu’elle avait agit comme un catalyseur.

C’est comme si toute la toxicité, qu’elle soit extérieure ou intérieure, était encore plus insupportable qu’avant…

Cela a poussé énormément de personnes à prendre des décisions radicales dans leur vie: quitter un travail qui étouffe, s’éloigner d’une amitié qui n’en est pas vraiment une, prendre de la distance avec un membre de la famille qui est toxique, revoir sa relation avec ses enfants, quitter son conjoint ou au contraire se rendre compte qu’on est exactement avec la personne qu’il nous faut….

Au delà d’identifier ce qui nous convient à l’extérieur, on doit faire un travail pour voir également ce qui nous « persécute » en nous-même…

Dans ce dernier podcast, je vous parle de cette posture de dureté que l’on peut avoir vis à vis de soi-même et surtout je vous donne des pistes de questionnement pour que vous puissiez désamorcer cela ici.

Vous avez envie de venir à bout de vos croyances limitantes et de vos blocages psychologiques ?

Pour vous sentir plus épanouie, plus confiante, autonome, libérée de ce poids qui vous empêche de réaliser vos projets ?

Qui n’a pas envie d’être pleinement soi-même et de maitriser ses émotions et ses pensées ?

Alors il va falloir prendre le taureau par les cornes comme on dit, il va falloir décider d’investir en vous-même et faire les choses différemment.

Et si on pouvait juste croire plus que 2 minutes que vivre une vie épanouie est possible ?

Et si c’était possible de faire ce cadeau à votre existence ?

Et si en fin de compte, il n’y avait pas de fatalités et que l’on était pas obligé de subir toute cette toxicité qui se véhiculent dans ces nœuds de croyances limitantes?

Je vous laisse méditer tout ça ;)

Je vous souhaite une très belle journée

Bien à vous,

Emilie